Dans un contexte de pénurie de compétences et de tensions extrêmes sur le marché du travail, il ne suffira pas pour recruter et fidéliser les salariés d’augmenter les salaires, ni de passer à la semaine de quatre jours. Il faudra mettre la motivation intrinsèque : l’autonomie, le développement des compétences et le sens au cœur du travail.
C’est à ce prix que les entreprises pourront de nouveau attirer les meilleurs. Une des manières d’atteindre cet objectif est d’impliquer fortement les salariés, et par exemple de les faire participer à la définition de leur propre travail. C’est ce que nous appelons le design du travail. Des exemples de ces pratiques dans l’industrie issues de nos deux ouvrages seront présentés et discutés.
